b’Elle : un rêve (d’enfant) devenu réalité

C’est en 2011 que Stephanie lance son entreprise, un rêve qui se réalise enfin. La voilà indépendante. Depuis, b’Elle a bien évolué et se décline désormais en deux magasins physiques et une boutique en ligne où l’on peut trouver les dernières tenues en vogue et d’autres incontournables de la mode. Dans tous les commerces de Stephanie, les clients peuvent régler leurs achats par voie électronique grâce à la formule Starters de CCV. Elle nous explique son choix.

Qu’est-ce qui vous a poussée à lancer votre propre affaire ?

Stephanie : « Depuis que je suis toute petite, je suis fascinée par les bijoux, les sacs, les chaussures et les vêtements, et je rêve de posséder un magasin. C’est donc une idée qui me tournait dans la tête depuis longtemps. Après mes études de marketing, j’ai suivi une formation supplémentaire pour devenir consultante en couleurs, style et image, ce qui n’a fait que renforcer ma passion et mon admiration pour la mode. Enfin, mes parents et mon entourage, qui m’ont toujours soutenue, ont fini par me convaincre de sauter le pas. Et mon rêve (d’enfant) est devenu réalité. »

D’où vient le nom b’Elle ?

Stephanie : « b’Elle, c’est facile à dire et ça sonne bien. Se sentir belles, c’est ce que nous souhaitons à toutes nos clientes. Qu’elles soient belles telles qu’elles sont, et que nos vêtements et accessoires de mode contribuent à mettre cette beauté en valeur. Ensuite, l’apostrophe vient souligner le mot ‘elle’, qui renvoie clairement à notre public cible. Elle est belle. Belle pour elle. »

Pourquoi se rendre chez vous ?

Chez b’Elle, nous tenons à prouver que la mode n’est pas toujours hors de prix. Notre équipe passionnée se coupe en quatre pour dénicher les dernières tendances et les indispensables. b’Elle est synonyme de style, mais aussi d’unique et d’abordable. Chez nous, vous pouvez vous laisser aller à vos envies de shopping sans regretter ensuite de vous être ruinée pour une tenue à laquelle vous n’avez pas pu résister.

Un autre atout que nous apprécions mettre en lumière, c’est que nos pièces sont quasiment uniques. En effet, chez b’Elle, nous optons toujours pour des vêtements en production limitée, que nous répartissons dans nos deux boutiques. Nous pouvons ainsi renouveler nos collections chaque semaine. Résultat : les stocks sont vraiment limités chez nous, et nos clientes ne peuvent pas mettre trop longtemps à se décider.

Vous êtes gérante d’une boutique en ligne et de deux magasins. Qu’avez-vous lancé en premier et pourquoi ?

Stephanie : « Le magasin physique, car je ressentais le besoin d’une petite boutique locale et agréable proposant des accessoires de mode à un prix abordable. Le tout avec un taux de rotation élevé pour convaincre les clientes que les pièces uniques, qui attirent le regard, ne sont pas nécessairement impayables. Je me suis ensuite étendue aux vêtements. C’était la suite logique. »

Y a-t-il des différences entre votre offre en ligne et hors ligne ?

Stephanie : « Bien sûr ! Puisque b’Elle fait volontairement le choix de collections limitées à la rotation rapide, l’offre de nos deux magasins physiques reste plus large que notre offre en ligne. C’est un point auquel nous voulons nous atteler à l’avenir. Le plus grand avantage de la boutique en ligne, c’est qu’elle permet aux clientes de se faire une idée des styles que nous proposons et qu’elle offre une solution aux clientes qui ne peuvent pas venir sur place par manque de temps ou parce qu’elles habitent trop loin. »

Quels modes de paiement acceptez-vous dans les magasins et dans la boutique en ligne ?

Stephanie : « Dans la boutique en ligne, les clients peuvent payer par voie électronique (Maestro et carte de crédit) et au moyen de chèques-cadeaux. Dans les magasins, ils peuvent en outre payer en espèces.

Nous avons expressément choisi de proposer de nombreux modes de paiement car je suis la première à être contrariée lorsque l’offre est limitée. Si mon mode de paiement préféré n’est pas disponible, le risque est grand que je n’achète pas. C’est en gardant cela à l’esprit que nous avons choisi les modes de paiement pour nos magasins et notre boutique en ligne. »

Avez-vous été immédiatement prête à accepter le paiement électronique ? Ou avez-vous commencé par du cash uniquement ?

Stephanie : « Nous avons tout de suite opté pour le paiement électronique. C’était une évidence vu les avantages que ce mode de paiement représente pour moi et pour mes clients. »

Vous avez choisi CCV comme partenaire pour votre solution de paiement. Pourquoi ?

Stephanie : « Lorsque j’étais à la recherche d’un nouveau partenaire pour mes solutions de paiement, j’ai entendu de très bons échos sur CCV de collègues entrepreneurs dans mon entourage. Il a ensuite suffi d’un entretien agréable et ouvert pour me convaincre de collaborer avec CCV. Le démarrage s’est déroulé sans encombres et la communication se passe extrêmement bien jusqu’ici, raison pour laquelle je ne vois pas pourquoi je changerais de partenaire. »

Pourquoi avez-vous opté pour la formule Starters à 49 € par mois ?

Stephanie : « Je trouve que la formule Starters a tout pour plaire, tant en termes de prix que de qualité. Comme elle inclut un grand nombre de transactions, nous pouvons compter sur un prix correct, sans surprises. Le terminal de paiement fixe est très facile à utiliser et en cas de question ou de dysfonctionnement, l’équipe de service se tient toujours prête à nous venir en aide. »

Quel conseil donneriez-vous à des collègues entrepreneurs désireux de lancer leur propre affaire ou une boutique en ligne ?

Stephanie : « Osez sauter le pas. Le jour où toutes les conditions seront réunies pour lancer une entreprise sans courir aucun risque n’arrivera jamais. Si vous suivez votre instinct en gardant une vue claire sur les avantages et les inconvénients, vous ne pouvez pas vraiment vous tromper. Faites-vous toutefois toujours conseiller par un professionnel qui connaît bien le monde des entrepreneurs et trouvez un bon comptable. Il faut vivre ses rêves aujourd’hui pour pouvoir revenir demain sur les meilleurs souvenirs qu’on en aura gardés. »