Comment My BabyOutlet prend les choses en main grâce à CCV Shop

My BabyOutlet

Amy et Wesley sont non seulement les fiers parents de deux enfants, mais aussi les gérants de My BabyOutlet, un paradis pour les parents à la recherche d’articles pour bébé de qualité, à petit prix. Depuis la cessation de leur magasin physique il y a quelques années, ils se sont pleinement investis dans la vente sur Internet via leur boutique en ligne de CCV et organisent un grand déstockage trois fois par an. Les participants à nos CCV Inspiration Days qui se sont déroulés récemment ont eu l’occasion d’entendre leur histoire. À vous maintenant de la découvrir ci-dessous!

Comment vous est venue l’idée de vendre des articles pour bébé ?

Amy : « Nous étions déterminés à lancer un jour notre propre affaire comme indépendants. Il nous restait à choisir le type d’activité et la réponse a été trouvée durant ma première grossesse. Aujourd’hui encore, la quantité de choses qu’il faut acheter pour un bébé continue de nous surprendre. Et la plupart d’entre elles ne sont plus utilisées après quelques mois. De ce fait, avoir un enfant peut souvent s’avérer très cher. Nous nous sommes dit qu’on devait pouvoir s’y prendre autrement. My BabyOutlet a été créé quelque temps plus tard. »

En quoi consiste My BabyOutlet ?

Amy : « Les parents trouvent chez nous un éventail complet d’articles de bonne qualité à un prix très intéressant. Je suis tout à fait consciente du fait que les mots “outlet” et “déstockage” n’ont pas une connotation positive. Alors qu’un déstockage évoque un dépôt débordant de caisses, nous nous efforçons, pour notre part, de créer une atmosphère conviviale et chaleureuse.

Nous ne nous limitons pas à des fins de série, mais recherchons également les dernières tendances. Nos collections noir et blanc et des matières qui ont la cote comme le bambou en sont des exemples. Pour ce faire, nous étendons parfois nos recherches à l’étranger. »

Vous avez démarré un magasin en 2012 pour finalement vous consacrer intégralement à la vente en ligne depuis 2018. Pourquoi cette transition ?

Amy : « Au début, nous n’avions effectivement qu’un magasin physique et un site Web informatif qui renseignait, entre autres, les heures d’ouverture. Les clients nous demandaient de plus en plus si notre offre était également disponible en ligne. Par ailleurs, nous croyons fermement au concept du déstockage, auquel une boutique en ligne est beaucoup mieux adaptée. En plus d’être des entrepreneurs, nous sommes également les fiers parents de deux enfants. Sur ce point, une boutique en ligne donne plus de liberté. Autrefois, notre magasin était ouvert jusqu’à 18 h, mais maintenant, nous pouvons facilement aller chercher les enfants à la sortie de l’école et ensuite continuer de travailler. »

Depuis 2014, vous aviez une boutique en ligne auprès d’un autre fournisseur. Pourquoi vous êtes-vous tournés vers CCV Shop ?

Amy : « Nous avions effectivement une boutique en ligne, mais étions confrontés à de nombreux problèmes. Quand nous avons fait plus ample connaissance avec CCV Shop lors d’un salon, nous avons été rapidement convaincus. La flexibilité de la plateforme est essentielle à nos yeux. En effet, notre offre change en permanence, ce qui doit également être visible en ligne. Auparavant, nous devions parfois attendre deux semaines pour obtenir un changement. Maintenant, nous nous en chargeons facilement nous-mêmes.

Par ailleurs, notre boutique en ligne reste parfaitement à jour grâce à la plateforme CCV Shop. Je pense que, pendant 3 ans, notre ancienne boutique en ligne n’avait pas été adaptée une seule fois aux dernières évolutions. Maintenant, nous avons la certitude qu’elle l’est. »

Nous avons configuré la boutique en ligne pour vous. Qu’est-ce qui était important à vos yeux ?

Amy : « Nous avons été étroitement impliqués dans la configuration et avions quelques demandes spécifiques basées sur nos expériences antérieures. Par exemple, concernant le feed Facebook sur notre page d’accueil avec des commentaires de nos clients ou la possibilité de mettre en place temporairement un pop-up pour annoncer un nouveau déstockage. Alors qu’autrefois, nous devions toujours demander à un tiers de s’en occuper, nous pouvons à présent facilement nous en charger nous-mêmes en cas de besoin. »

Vous vous occupez entièrement de la maintenance de votre boutique en ligne. Cela se passe bien ?

Amy : « Tout à fait. Nous sommes loin d’être des experts en informatique, mais la plateforme est à ce point facile à utiliser que nous pouvons facilement nous occuper nous-mêmes de la maintenance de notre boutique en ligne. Et si nous en sommes capables, tout le monde peut le faire !

Si nous avons une question ou une demande, les collaborateurs du service de support de CCV Shop sont toujours à notre disposition. Il m’arrive de démarrer un chat en ligne pour une question rapide ou de téléphoner quand la demande est un peu plus complexe. »

Lors du check-out dans votre boutique en ligne, les clients ont le choix entre une livraison et un enlèvement. Quelles sont vos expériences jusqu’ici ?

Amy : « 80 à 90 % des clients de notre webshop optent pour une livraison. Ce chiffre étonnamment élevé n’est cependant pas anormal étant donné qu’un grand nombre de nos clients travaillent à temps plein. Il est dans ce cas plus simple pour eux de se faire livrer un colis. »

Wesley : « Étant donné que nous vendons nos produits à un prix fortement réduit, cela revient toujours moins cher d’ajouter des frais de livraison que de prendre sa voiture pour aller faire cet achat ailleurs. »

CCV Shop permet de voir les commandes et les paiements dans un seul et même aperçu. Quelles méthodes de paiement en ligne acceptez-vous et est-ce un choix délibéré ?

Amy : « Notre ancienne boutique en ligne permettait uniquement les paiements par Bancontact. À la demande de nos clients, nous avons ajouté d’autres modes de paiement (Mastercard entre autres) et ça marche plutôt bien ! »

Une boutique en ligne offre moins de contacts directs avec la clientèle. Comment essayez-vous d’y remédier ?

Wesley : « Nous faisons preuve d’une grande créativité dans ce domaine. D’une part, nous avons un petit show-room où les clients peuvent venir nous demander des explications ou regarder les articles. D’autre part, il est déjà arrivé que nous réalisions des vidéos concernant des questions spécifiques de clients. »

Amy : « Nous misons également beaucoup sur nos lettres d’information et notre page Facebook pour informer en permanence de nos nouveaux produits ou promotions. Nous essayons d’alterner les messages commerciaux avec des articles de blog sur des sujets qui intéressent notre groupe cible. Je pense par exemple à un article sur les premières dents ou sur ce qu’il faut faire quand un bébé a mal au ventre. »

Après quelque temps, vous nous avez demandé de vous aider au niveau de l’online marketing. Pourquoi ?

Amy : « Au début de notre boutique en ligne, tout se passait bien mais après un temps, nous avons constaté que nos déstockages avaient un sérieux impact sur nos ventes en ligne. Des clients fixes remettaient à plus tard leurs achats en ligne et, après un déstockage, les commandes avaient du mal à démarrer étant donné que beaucoup de gens avaient déjà fait leurs provisions. Nous ne nous y connaissons pas assez en online marketing et avons dès lors demandé à CCV de nous aider. »

Nous vous avons présentés à notre partenaire MvH Media. Comment a été cette expérience ?

Amy : « Très bonne. Comme CCV, MvH Media a une approche très personnalisée. Ce n’est pas une grosse entreprise où vous êtes un numéro. Pour nous, il est important que les partenaires avec lesquels nous travaillons sachent qui nous sommes, qui est My BabyOutlet et ce que nous visons. Selon moi, ce n’est que de cette façon qu’il est possible de travailler ensemble pour évoluer. »

Michelle de MvH Media : « Comme beaucoup d’autres entrepreneurs, Amy a compris qu’il ne suffit pas d’avoir une boutique en ligne. Les clients (potentiels) doivent également la trouver ! Après avoir fait amplement connaissance, nous nous sommes mis à la tâche afin de générer un flux constant de commandes en ligne en déployant des efforts au niveau du SEA et du SEO. »

Avez-vous des conseils à donner à vos collègues-entrepreneurs ?

Amy : « Faites attention à la prise de décisions dans des situations de crise. Il vaut parfois mieux prendre du recul et laisser l’idée faire son chemin plutôt que prendre une décision hâtive que vous regretteriez ensuite.
Il faut également oser entreprendre. Réfutez les choses qui vous retiennent en les mettant tout simplement par écrit, par exemple. Vous aboutirez automatiquement à des solutions. »

Wesley : « Faites-vous aussi accompagner par des professionnels. Leur travail consiste à s’occuper de choses comme l’online marketing ou les évolutions d’une plateforme de boutique en ligne. Tout évolue à une telle vitesse qu’un entrepreneur ne peut pas tout suivre lui-même, en plus de gérer les autres facettes de son entreprise. Cela vous coûte un temps précieux et de l’argent et, au bout du compte, vous ne vous en sortez pas mieux. Choisissez les partenaires ad hoc et tout se passera bien. »