Foodtruck Chickenman: un chiffre d’affaires augmenté depuis le passage aux paiements électroniques

Stijn, alias The Chickenman, parcourt la région bruxelloise dans son foodtruck depuis 20 ans déjà. En se positionnant aux mêmes emplacements, il peut compter sur une clientèle fidèle, mais aussi sur les passants qui se laissent séduire par la savoureuse odeur de son poulet rôti à la broche. À la demande de ses clients, et après avoir été victime d’une attaque à main armée, Stijn a opté pour le paiement électronique, dont il est désormais fervent partisan. Nous avons écouté son histoire !

Qu’est-ce que The Chickenman ?

Stijn : « The Chickenman est le nom du foodtruck dans lequel nous vendons du poulet à la broche et des spare ribs. J’ai commencé il y a 20 ans, en rachetant une petite échoppe mobile. Les affaires ont bien décollé, et nous n’avons fait que nous étendre depuis lors. Entre-temps, nous possédons deux foodtrucks fixes dans la région de Bruxelles, et nous avons même ouvert un restaurant à la côte. »

Comment réglez-vous vos paiements en déplacement ?

Stijn : « Nous travaillons dans un secteur qui utilise essentiellement les espèces. Après l’attaque à main armée dont nous avons été victimes il y a trois ans, et vu que nos clients étaient de plus en plus nombreux à souhaiter payer de cette façon, nous avons décidé de rechercher une solution de paiement électronique. Étant donné que nos foodtrucks changent de place tous les jours, nous avions besoin d'un système de paiement mobile. Alors, sur les conseils de Kristof (expert en matière de paiement chez CCV), nous avons adopté le CCV Mini : un système de paiement compact et sans fil, idéal pour réaliser un petit nombre de transactions. Après quelque temps, comme nos affaires marchaient bien et que le nombre de transactions augmentait en conséquence, nous sommes passés au CCV Mobile. La transition s’est déroulée sans problème, et désormais, entre 80 et 90 % de nos clients se sont mis au paiement électronique ! »

Comment vos clients ont-ils réagi ?

Stijn : « C’est en partie à la demande de nos clients que nous avons investi dans un terminal de paiement. Ils étaient donc enchantés. Quand nous avons nous-mêmes compris l’intérêt des paiements sans contact, nous avons dû attirer l’attention des clients sur cette possibilité et son mode de fonctionnement. Aujourd'hui, ils le font spontanément, et de plus en plus souvent ! »

« Auparavant, nous étions pessimistes face au paiement électronique, mais nous avons rapidement remarqué qu'il nous avait permis d’augmenter notre chiffre d’affaires. J’espère donc que cette méthode sera beaucoup plus courante à l’avenir. Pour moi, tout pourrait se passer sans cash ! », avoue Stijn.

Stijn, alias The Chickenman, à l'appareil

Stijn, alias The Chickenman, à l'appareil